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Un Week-end à Caen

Je suis arrivé à Caen un vendredi soir. Le ciel gris et la pluie fine ne présageaient rien de bon. J’avais entendu parler de l’histoire riche de cette ville normande, mais mes premiers pas dans ses rues m’ont laissé un sentiment de déception. L’architecture, bien que historique, semblait ternie par le temps et le manque d’entretien.

Le samedi, j’ai décidé d’explorer. J’ai commencé par le célèbre château de Guillaume le Conquérant. Pourtant, malgré son importance historique, j’ai trouvé le lieu peu engageant, presque négligé. Les panneaux d’information étaient usés, et il manquait une âme qui aurait pu donner vie à l’histoire.

L’après-midi, je me suis promené dans les rues commerçantes. Là encore, la magie n’opérait pas. Les boutiques semblaient manquer d’originalité, et l’atmosphère générale était morne. Peut-être était-ce le temps maussade qui influençait mon ressenti, mais je peinais à trouver le charme qu’on m’avait tant vanté.

Le dimanche, j’ai visité quelques musées, espérant retrouver une connexion avec la ville. Le Mémorial de Caen, consacré à la Seconde Guerre mondiale et à la paix, était certes impressionnant, mais quelque chose manquait. Peut-être était-ce la façon dont les expositions étaient présentées, ou peut-être étais-je déjà trop désenchanté pour apprécier.

En quittant Caen, je ne pouvais m’empêcher de ressentir un pincement au cœur. Non pas parce que j’étais triste de partir, mais parce que j’étais triste de n’avoir pas pu aimer cette ville comme je l’avais espéré. Caen, avec son histoire et sa culture, avait tout pour me séduire, mais quelque chose n’avait pas fonctionné. Peut-être étais-je passé à côté de ce qui rend cette ville spéciale, ou peut-être n’était-ce simplement pas la destination faite pour moi.

les épices asiatiques: une solution naturelle pour votre santé

Les épices asiatiques, bien connues pour la vivacité de leurs saveurs et de leurs arômes, offrent également une pléthore de bienfaits pour la santé. Ces assaisonnements, qui font partie intégrante de la cuisine asiatique, ne sont pas seulement des délices culinaires, mais aussi des sources de propriétés médicinales. Cet essai se penche sur les bienfaits pour la santé de plusieurs épices asiatiques clés, en explorant leurs valeurs nutritionnelles et leurs effets thérapeutiques.

Le curcuma, une épice de couleur jaune vif, est en fait un aliment de base de la cuisine indienne et de la médecine traditionnelle. L’élément actif du curcuma est la curcumine, qui possède de puissantes qualités anti-inflammatoires et antioxydantes. Des études affirment que la curcumine peut aider à contrôler les problèmes oxydatifs et inflammatoires, les troubles métaboliques, l’arthrite, la nervosité et l’hyperlipidémie. Elle aide également à réduire les gonflements et les douleurs musculaires induits par l’exercice, améliorant ainsi la guérison et les performances des personnes actives. En outre, le curcuma stimule l’aspect neurotrophique produit par l’esprit, lié à l’amélioration des fonctions cérébrales et à la réduction du risque de maladies cérébrales.

Le gingembre, utilisé à la fois comme épice et comme médicament populaire, est une autre épice orientale essentielle. Il est efficace pour lutter contre les nausées, en particulier les problèmes de santé du matin. Le gingembre possède également de puissantes propriétés anti-inflammatoires, ce qui le rend utile pour soulager les douleurs, notamment les douleurs menstruelles et l’arthrose. Des données suggèrent également que le gingembre peut réduire considérablement le taux de sucre dans le sang et améliorer les facteurs de risque de maladies cardiaques chez les patients atteints de diabète de type 2.

La cannelle, connue pour son goût particulier, est pleine d’antioxydants et possède des propriétés anti-inflammatoires. Elle est particulièrement efficace pour réduire la résistance à l’insuline, aidant cette hormone vitale à accomplir sa tâche efficacement et à abaisser les niveaux de glucose. En outre, la cannelle a un puissant impact antidiabétique, réduisant les niveaux de glucose dans le sang et augmentant la sensibilité à l’hormone insuline.

La cardamome, parfois appelée la « reine des épices ou des herbes », est largement utilisée dans la cuisine du sud de l’Orient. Elle pourrait améliorer la respiration en revitalisant l’absorption d’air frais et en détendant les voies respiratoires chez les animaux et les humains. En outre, la cardamome peut protéger contre les problèmes du système digestif et il a été démontré qu’elle réduisait la taille et le nombre d’ulcères du ventre lors d’expériences.

L’anis célèbre, une épice très appréciée dans la cuisine orientale et vietnamienne, est riche en acide shikimique, un composé doté de fortes capacités antivirales. Ce composé est utilisé comme matériau de base pour la production de Tamiflu, un médicament bien connu contre la grippe. L’anis célèbre présente également de puissantes propriétés antibactériennes, en particulier contre les micro-organismes résistants aux médicaments.

Le clou de girofle, reconnu pour sa saveur douce et aromatique, contient de l’eugénol, un composé qui agit comme un antioxydant naturel. Cette épice a été utilisée dans divers programmes, notamment pour guérir les problèmes digestifs et atténuer les douleurs liées aux maladies dentaires. Elle possède également des qualités antimicrobiennes qui peuvent aider à combattre les infections.

Le fenugrec est un aliment de base dans de nombreuses cuisines asiatiques, en particulier dans la cuisine indienne. Il est connu pour ses effets bénéfiques sur les taux de lipides sanguins, ce qui peut réduire le taux de cholestérol. Le fenugrec a également un effet significatif sur le taux de sucre dans le sang, les thés du Sri Lanka ce qui en fait une épice précieuse pour les diabétiques. En outre, on pense qu’il améliore les niveaux d’hormone androgène ou de testostérone et qu’il augmente le nombre de spermatozoïdes chez les hommes.

La coriandre, utilisée à la fois comme épice et comme herbe (cilantro), est riche en vitamines antioxydantes qui renforcent le système immunitaire. Ses avantages pour la santé comprennent la réduction de la glycémie, la lutte contre les infections et la promotion de la santé du cœur, du cerveau, de la peau et du système digestif. Les propriétés anti-inflammatoires de la coriandre peuvent également atténuer les symptômes de la polyarthrite rhumatoïde.

Le safran, l’un des assaisonnements les plus chers au monde, est traditionnellement utilisé dans les traitements persans comme aphrodisiaque, antidépresseur et antispasmodique. Des études suggèrent que le safran peut améliorer l’humeur, la libido et lutter contre le stress oxydatif. Le safran est également efficace pour traiter les symptômes des troubles dépressifs légers à modérés.

Le cumin est très apprécié pour ses propriétés digestives. Il est prouvé qu’il augmente l’exercice des enzymes du système digestif, ce qui peut accélérer la digestion des aliments. Le cumin augmente également la sécrétion de bile par le foie, ce qui facilite la digestion des acides gras et de certains nutriments dans l’intestin.

En conclusion, les épices et les herbes asiatiques offrent plus qu’une simple amélioration de la saveur des plats culinaires. Elles possèdent de nombreux bienfaits pour la santé, qui vont des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes à l’amélioration de la santé digestive, en passant par la lutte contre les maladies chroniques. L’intégration de ces épices dans le régime alimentaire d’une personne peut contribuer de manière significative à sa santé et à son bien-être. Néanmoins, il est essentiel de se rappeler que ces épices doivent compléter un régime alimentaire équilibré et un mode de vie sain. Si l’utilisation de ces assaisonnements peut apporter plusieurs avantages pour la santé, ils ne doivent pas se substituer aux traitements conventionnels, mais plutôt être utilisés dans le cadre d’une approche entièrement naturelle de la santé.

Recherche impressionnante, solutions problématiques

De l’extraordinaire richesse de son matériel empirique à l’étendue de sa portée culturelle, et de la rare alliance de précision statistique et de références littéraires au niveau de son ambition intellectuelle et politique, il y a beaucoup à recommander dans ce livre remarquable.
D’un point de vue politique, cependant, sa dernière partie, où l’auteur propose un programme pour promouvoir l’équité sociale, mérite la discussion la plus approfondie. Il est beaucoup plus court mais au moins aussi ambitieux que les chapitres analytiques.
L’objectif de Piketty est d’offrir un nouveau paradigme pour remplacer le projet social-démocrate largement obsolète. Cette ambition peut sembler excessive. C’est plutôt fondamentalement juste. Dans le contexte actuel de colère sociale, les catalogues de propositions de politique terre à terre ne convainquent pas les électeurs ni ne fournissent aux décideurs un guide pour la prise de décision en temps réel dans un environnement imprévisible. Les démocraties ont aujourd’hui besoin de directions aussi ambitieuses que le keynésianisme du bien-être des années 60 ou le petit gouvernement, projet de libre marché des années 80.
En outre, les programmes prétendument réalistes ne parviennent souvent pas à relever des défis urgents. L’inégalité des richesses, l’inégalité des revenus et l’inégalité d’accès aux biens essentiels tels que l’éducation et les soins de santé ont atteint des niveaux où ils ne peuvent pas être résolus par des ajustements en marge du type habituellement discuté dans les débats politiques.
Le programme audacieux de Piketty repose sur trois piliers principaux. Le premier est l’autonomisation des employés grâce à une réforme radicale de la gouvernance d’entreprise; le second est une redistribution massive de la richesse et des revenus par une refonte du système fiscal; le troisième, qui s’applique essentiellement à l’Europe, est une transition vers le fédéralisme transnational. Il y a de bonnes raisons de les envisager, mais chacune est également très problématique.
Autonomiser les employés grâce à la réforme de la gouvernance d’entreprise
Tout d’abord, la gouvernance d’entreprise. Un thème récurrent du livre est une critique de l’absolutisme des droits de propriété (ce qu’il appelle le proprietarisme). Piketty méprise le communisme, mais il considère l’extension progressive de la sphère de la propriété privée (de la terre aux produits manufacturés, au capital immatériel et aux données) et l’augmentation parallèle du pouvoir des actionnaires comme la principale malédiction du capitalisme et une cause fondamentale de la montée des inégalités. S’appuyant sur les expériences allemande et suédoise, il vise à rétablir un équilibre entre les propriétaires de capitaux et les employés.
Ses propositions vont cependant au-delà de la codétermination allemande, où les représentants des salariés obtiennent la moitié des sièges au conseil de surveillance tandis que les actionnaires nomment généralement le directoire, ce qui garantit en pratique que ce dernier conserve le contrôle des décisions mais offre aux représentants des salariés un bon accès aux informations et un mot à dire sur la stratégie globale. Piketty envisage plus sur deux fronts: Il préconise de donner aux employés la moitié des sièges au conseil d’administration des grandes entreprises et de limiter les droits de vote des actionnaires détenant plus de 10% du capital d’une entreprise.
Il n’y a aucune raison de ne pas envisager de réforme de la gouvernance d’entreprise pro-travailliste, en particulier dans une économie où le capital humain compte de plus en plus. Ce qui est frappant dans les propositions de Piketty, cependant, c’est qu’il envisage la question d’un point de vue presque exclusivement distributionnel. Que ses réformes soient ou non propices à l’efficacité sociale, stimulent l’innovation ou contribuent à freiner le court-termisme des entreprises semble largement hors de sa portée. Le capitalisme est considéré principalement comme un mécanisme d’accumulation de richesses et non comme un moteur de transformation économique.
Redistribution de la richesse et du revenu par la refonte du régime fiscal
La fiscalité est le deuxième instrument grâce auquel Piketty entend contenir la concentration de la richesse et de la propriété. Ses propositions sur ce front sont à la fois précises et radicales. Les repères numériques sont présentés à titre indicatif, mais l’objectif est sans ambiguïté: transformer la nature du bien pour le rendre temporaire plutôt que permanent. L’utopie sociale de Piketty s’apparente explicitement à un régime de propriété foncière où la propriété est régulièrement redistribuée des propriétaires à la paysannerie.
Trois impôts progressifs différents doivent être mobilisés à cet effet: un impôt sur la fortune, un impôt sur les successions et un impôt sur le revenu. Le produit des deux premiers, environ 5% du PIB, financerait une allocation universelle de capital selon laquelle, à son 25e anniversaire, chaque citoyen serait doté de 60% de la richesse moyenne (soit environ 130 000 $ dans les pays avancés). Le troisième rapporterait environ 40% du PIB et financerait les biens publics, l’assurance sociale et un revenu de base pour les pauvres.
Ces chiffres peuvent ne pas sembler aussi radicaux. Les dépenses publiques représentent 45% du PIB en moyenne dans l’Union européenne, de sorte que la charge fiscale globale pourrait rester à peu près constante. Cependant, les paramètres suggérés indiquent une refonte fondamentale du régime immobilier. Sur la base du tableau 17.1 à la page 1130 du livre, le taux d’imposition annuel sur le patrimoine pourrait atteindre 5% pour une personne dont l’actif net vaut dix fois le patrimoine moyen. Sachant que Piketty taxerait (à juste titre) toutes les formes de patrimoine de manière égale et que le patrimoine moyen des ménages français s’élève à 250 000 €, l’impôt sur un patrimoine de 2,5 millions d’euros serait de 125 000 € par an. En comparaison, pour les États-Unis, la sénatrice Elizabeth Warren n’envisage qu’un taux marginal d’imposition de 2% sur la richesse supérieure à 50 millions de dollars (au lieu du taux effectif de Piketty de 10%), atteignant 3% au-dessus de 1 milliard (au lieu de plus de 60%).
En plus de cela, les mêmes actifs seraient soumis à un impôt successoral de 60%, et le taux d’imposition effectif sur le revenu atteindrait 60% pour une personne gagnant dix fois le revenu moyen. De tels niveaux élimineraient très probablement la propriété au-dessus d’un seuil relativement bas, sauf pour les entrepreneurs capables de réaliser des retours sur capitaux exceptionnels. Les simulations d’Emmanuel Saez et Gabriel Zucman (2019) sur les 400 individus américains les plus riches indiquent en fait qu’un impôt marginal sur la fortune de 10% sur les actifs supérieurs à 1 milliard de dollars aurait empêché la déformation tendancielle de la répartition des richesses observée depuis les années 1980. La combinaison de Piketty d’un impôt sur la fortune confiscatoire, d’un impôt successoral très progressif et d’un impôt sur le revenu très progressif irait beaucoup plus loin. Cela impliquerait la fin de la propriété du capital tel que nous le connaissons.
Encore une fois, il n’y a rien de mal à briser les tabous et à envisager une réforme fondamentale de la propriété du capital. Mais à condition que les répercussions soient prises en compte. Le mépris apparent de Piketty pour les implications de ses propositions est ahurissant. Il ne prend même pas la peine de discuter des conséquences pour les taux d’épargne, le comportement d’investissement ou l’innovation. Quant à la gouvernance d’entreprise, la distribution semble être son seul objectif. Alors que l’utilisation répétée du capital dans le titre de ses livres est une référence indubitable à Karl Marx, Piketty ne montre presque aucun intérêt pour la production. Le capital, pour lui, ne signifie guère plus que la richesse.
Vers un fédéralisme transnational en Europe
Le troisième pilier, le fédéralisme européen, est conçu comme un moyen de surmonter les contraintes politiques résultant des distorsions créées par la concurrence fiscale et la règle de l’unanimité de l’Union européenne en matière fiscale (et, obliquement, du cadre de discipline budgétaire de la zone euro). 2 Pour résoudre l’impasse résultant de l’ajout de pouvoirs de veto au sein du Conseil de l’UE (où chaque pays est représenté par son ministre), il préconise la démocratisation de l’Union européenne et le transfert des pouvoirs fiscaux à une nouvelle assemblée réunissant des parlementaires nationaux et européens. 3
Le diagnostic est correct, mais il est peu probable que la solution voie la lumière. Le problème en Europe n’est pas, comme Piketty prétend le croire, la composition du Parlement. Elle découle du fait beaucoup plus fondamental que les nations qui ont accepté de mettre en commun leur souveraineté économique dans divers domaines ne sont pas prêtes à doter l’Union européenne de compétences en matière d’impôts ou de répartition de la richesse. Telle est leur position depuis les origines et le climat politique actuel les rend encore moins sensibles à de telles idées que jamais.
Outre le fait qu’une assemblée réunissant des parlementaires nationaux et européens ne se comporterait probablement pas selon les souhaits de Piketty, pourquoi les États accepteraient-ils soudainement un changement fondamental dans la répartition des compétences? En Allemagne, la question est devenue une question constitutionnelle. Dans une série de décisions, la Cour constitutionnelle fédérale a érigé des obstacles au transfert de nouveaux pouvoirs à l’Union européenne. Ironiquement, son argument est de la même nature que celui de Piketty, mais ses conclusions sont contraires: pour le tribunal de Karlsruhe, l’Union européenne n’est pas suffisamment démocratique pour être dotée de nouvelles compétences importantes, car les citoyens du pays dont le poids démographique est le plus fort L’Allemagne est sous-représentée dans son système institutionnel.
Sur les trois comptes – gouvernance d’entreprise, fiscalité et gouvernance européenne – les propositions de Piketty soulèvent donc de nombreuses questions auxquelles il ne parvient pas, ou ne tente même pas, de répondre. En l’absence d’une discussion systématique des implications et des objections possibles à ses idées, elles ne peuvent guère être considérées comme des propositions politiques sérieuses. Au final, ce qui est profondément troublant dans son livre, ce n’est pas le radicalisme de ses projets. C’est le contraste entre la rigueur de son analyse empirique et son approche désinvolte des questions de politique.

Le Citron en Parfumerie

Le citron, scientifiquement appelé Citrus limon, est un agrume captivant qui a laissé sa marque non seulement dans les délices culinaires, mais aussi dans le monde de la parfumerie. Son parfum vibrant et ses qualités stimulantes ont trouvé leur place dans de nombreuses compositions aromatiques, apportant une touche piquante et revigorante. Nous allons explorer l’essence du citron et ses multiples facettes dans le domaine de la parfumerie.

Les citronniers, petites choses étonnantes à feuilles persistantes atteignant jusqu’à 6 mètres d’altitude, ont des feuilles oblongues dentelées, des branches épineuses, et exsudent des plantes très parfumées. Le fruit lui-même subit une transformation enchanteresse en passant d’une couleur écologique vibrante à un jaune attrayant lorsqu’il est mûr. Originaires de certaines parties de l’Asie, en particulier de la partie orientale de l’Inde, les agrumes prospèrent aujourd’hui dans la région méditerranéenne, l’Espagne et le Portugal étant les principales régions de culture. Ils sont cultivés dans le monde entier, notamment en France, en Sicile, à Chypre, en Guinée, en Israël et dans certaines régions d’Amérique du Nord et du Sud, comme la Californie et la Floride.

En plus de ses utilisations culinaires, les agrumes ont une longue tradition phytothérapeutique et folklorique. Son liquide et son écorce ont été couramment utilisés comme assaisonnement domestique, connus pour leur valeur nutritionnelle élevée, notamment les vitamines A, B et C. Les agrumes ont été vénérés en Espagne et dans d’autres pays européens comme un remède universel, en particulier pour les maladies infectieuses. Il a été utilisé de tout temps pour lutter contre des maladies telles que la malaria et la typhoïde, et a été particulièrement utile pour lutter contre le scorbut sur les navires anglais au cours de longs voyages en mer.

D’un point de vue aromathérapeutique, le citron offre une pléthore de bienfaits. Son huile vitale est extraite par expression à froid de la partie extérieure de l’écorce fraîche. Le liquide jaune-vert pâle qui en résulte dégage un parfum léger et frais de citron ou de lime qui est à la fois vivifiant et remarquable. L’huile essentielle de citron se combine harmonieusement avec une large gamme d’autres parfums, notamment la lavande, le néroli, l’ylang-ylang, la rose, le bois de santal, l’oliban, la camomille, le benjoin, le fenouil, le géranium, l’eucalyptus, le genévrier, la mousse de chêne, le lavandin, l’élémi, le labdanum et d’autres huiles de citron ou de citron vert.

Les principaux composants de l’huile vitale de citron sont le limonène (environ 70 %), le terpinène, les pinènes, le sabinène, le myrcène, le citral, le linalol, le géraniol, l’octanol, le nonanol, le citronellal, le bergamotène et d’autres encore. Cette combinaison unique de composés est à l’origine de ses actions et de ses avantages multiples. L’huile de citron s’est avérée posséder des propriétés contre-anémiques, antimicrobiennes, antirhumatismales, antisclérotiques, antiscorbutiques, antiseptiques, antispasmodiques, antitoxiques, astringentes, bactéricides, carminatives, cicatrisantes, dépuratives, antiseptiques et antiseptiques, cicatrisant, dépuratif, diaphorétique, diurétique, fébrifuge, hémostatique, hypotenseur, insecticide, rubéfiant, éveilleur de corpuscules blancs, tonique et vermifuge.

Cependant, il est recommandé de noter que si l’huile essentielle de citron est souvent non toxique, elle peut provoquer une gêne dermique ou des réactions de sensibilisation chez certains individus. Elle doit donc être appliquée avec modération. En outre, l’essence de citron est phototoxique, ce qui signifie qu’elle ne doit pas être utilisée sur une peau exposée à la lumière directe du soleil.

En dehors du domaine de l’aromathérapie et de l’utilisation domestique, l’huile de citron trouve ses applications dans divers domaines. Elle peut être utilisée dans les soins de la peau pour traiter des problèmes tels que les boutons, l’anémie, les ongles cassants, les furoncles, les engelures, les cors, les coupures, la peau grasse, l’herpès, les piqûres d’insectes, les aphtes, les taches et les varices. Dans le domaine de la circulation, des groupes musculaires et des articulations, l’huile de citron est utilisée pour des affections telles que l’arthrite, la cellulite, l’hypertension artérielle, les saignements de nez, les problèmes de poids liés à la congestion, la mauvaise circulation sanguine et les rhumatismes. En outre, elle est utilisée pour les problèmes respiratoires tels que l’asthme bronchique, les infections bactériennes de la gorge, la bronchite et le catarrhe, ainsi que pour les problèmes du système digestif tels que la dyspepsie. Enfin, l’huile d’agrumes est utilisée pour soutenir le système immunitaire en cas de rhume, de grippe, de fièvre et d’infection.

Au-delà de ses utilisations thérapeutiques, le citron vert joue un rôle important dans l’industrie des parfums. Son odeur vivifiante et agréable en a fait un agent aromatique recherché dans les produits pharmaceutiques. En outre, l’huile essentielle de citron est largement utilisée comme composant de parfum dans les savons, les nettoyants, les cosmétiques, les eaux de toilette et les parfums. Son odeur rafraîchissante et citronnée ajoute une touche délicieuse à de nombreux produits et apporte une sensation de propreté et de vitalité.

En conclusion, le citron, par ses attributs vibrants et rafraîchissants, occupe une place de choix dans le monde de la parfumerie. Son gaz essentiel offre une senteur légère et vivifiante qui se marie harmonieusement avec un large éventail de fragrances. Qu’il soit utilisé pour ses avantages aromathérapeutiques ou en tant qu’élément de parfum, le citron ajoute une touche zestée et revitalisante, apportant une explosion de plaisir citronné ou limé au royaume des parfums.

Dans le Montana

Dans la splendeur sauvage du Montana, où les montagnes majestueuses s’élèvent vers le ciel et où les rivières dévalent avec une énergie indomptable, une balade s’impose. Tel un écho à l’esprit libre et aventurier de Jim Harrison, nous partons pour une errance poétique à travers ce territoire vaste et envoûtant.

Nous commençons notre périple au pied des montagnes, là où l’air pur emplit nos poumons et où le silence apaise notre esprit. À chaque pas, nous nous enfonçons dans la nature sauvage, nous fondant avec le paysage. Les pins majestueux se dressent fièrement, tandis que les cascades tumultueuses créent une symphonie vivante. La beauté brute du Montana nous enveloppe, nous rappelant notre insignifiance face à la grandeur de la nature.

Nous nous aventurons plus loin, nous enfonçant dans les profondeurs des vallées secrètes. Les rivières cristallines serpentent entre les montagnes, offrant des refuges aux truites farouches qui dansent dans les eaux glacées. Sous le ciel immense, les aigles planent avec grâce, témoins silencieux de notre passage éphémère. Les cerfs majestueux nous observent avec curiosité, avant de disparaître dans les bois.

Le Montana est aussi le royaume des cow-boys et des ranchs. Au détour d’un virage, nous croisons des cavaliers solitaires, portant fièrement leur chapeau et leur amour de la terre. L’odeur du cuir et du foin embaume l’air, rappelant une époque révolue où la nature et l’homme étaient en harmonie. Les histoires des cow-boys du passé résonnent encore dans l’air, comme des légendes vivantes.

La nuit tombée, nous nous retrouvons autour d’un feu de camp, écoutant les crépitements du bois qui se consume. Les étoiles scintillent au-dessus de nous, dévoilant la voie lactée dans toute sa splendeur. Les montagnes se profilent en ombres mystérieuses, tandis que la lueur des flammes danse sur nos visages. C’est un moment d’introspection et de connexion profonde avec la nature qui nous entoure.

Au Montana, la vie est rythmée par les saisons. L’hiver apporte la neige immaculée qui recouvre les montagnes, offrant aux skieurs et aux amateurs de sports d’hiver une toile vierge pour s’exprimer. Le printemps réveille la nature endormie, avec ses fleurs sauvages qui éclosent et ses animaux qui reprennent vie. L’été, quant à lui, baigne le Montana dans une chaleur douce et réveille les rivières pour une saison de pêche enivrante. Enfin, l’automne enveloppe les paysages d’une palette de couleurs chatoyantes, offrant un spectacle visuel à couper le souffle.

Au terme de notre balade dans le Montana, nous sommes transformés. Nous avons été témoins de la grandeur de la nature, de la simplicité des ranchs et de la force tranquille des montagnes. Le Montana nous a imprégnés de son esprit sauvage, nous rappelant l’importance de préserver ces espaces intacts et de cultiver notre relation profonde avec la nature. Dans cet État à la beauté brute, nous avons trouvé une reconnexion avec notre moi le plus authentique et une paix intérieure qui perdurera bien après notre départ.

Faire un voyage en hélicoptère

J’ai récemment eu la possibilité de survoler de grands panoramas en hélicoptère. Un vol en hélicoptère est un excellent moyen de découvrir les beautés de la terre et je vous recommande vivement de faire un tour si vous le pouvez.

Les voyages en hélicoptère sont amusants. Il y a quelque chose de fascinant dans les voyages en hélicoptère. Peut-être est-ce la sensation de vol, ou la vue à vol d’oiseau sur le paysage. Quelle que soit votre raison, les voyages en hélicoptère sont assurément très amusants. Et grâce à la technologie moderne, ils sont également très sûrs. Par conséquent, si vous êtes à la recherche de la meilleure rencontre exaltante, pourquoi ne pas faire un tour en hélicoptère ? Vous êtes sûr de l’apprécier.

Les voyages en hélicoptère offrent les meilleures vues sur les paysages. Peut-être avez-vous déjà voulu voir le monde d’un point de vue différent ? Un tour en hélicoptère vous permettra de le faire. En planant dans le ciel, vous aurez une vue imprenable sur des paysages très variés. Que vous vous émerveilliez devant des montagnes enneigées ou des plages immaculées, les vols en hélicoptère offrent un moyen unique d’admirer certains des paysages les plus spectaculaires du monde. Et qui plus est, vous êtes sûr d’en avoir une connaissance que vous n’oublierez jamais. Si vous êtes à la recherche d’une façon vraiment inoubliable de commencer à voir le monde, un voyage en hélicoptère est sûr de vous offrir les meilleurs paysages.

Les vols en hélicoptère peuvent être bon marché si vous ne volez pas longtemps. Néanmoins, ils peuvent être coûteux si vous voyagez pendant de longues heures. Les trajets en hélicoptère peuvent être une merveilleuse façon de voyager, néanmoins ils peuvent aussi être assez chers. Le prix d’un vol en hélicoptère dépend de plusieurs facteurs, tels que la distance à parcourir et la durée du vol. Si vous ne volez que sur une courte distance, vous pouvez trouver un vol en hélicoptère assez bon marché. En revanche, si vous volez sur une longue distance ou pendant une longue période, le prix du vol en hélicoptère augmente. Il existe un certain nombre de méthodes pour économiser de l’argent sur les trajets en hélicoptère, mais vous devez vous rappeler que le prix d’achat des trajets en hélicoptère peut varier en fonction de la distance parcourue et de la durée du vol.

Vous trouverez peu d’expériences plus excitantes que de voler dans un hélicoptère. Grâce aux rotors de l’hélicoptère qui vous propulsent dans les airs, vous pouvez profiter de vues spectaculaires qui seraient autrement inaccessibles. Des gratte-ciel de New York aux eaux rugissantes des chutes du Niagara, les vols en hélicoptère offrent un point de vue vraiment unique sur un certain nombre des sites les plus emblématiques du monde. Et si vous êtes à la recherche d’un environnement naturel exceptionnel, des vols en hélicoptère sont également disponibles au-dessus du Mont Blanc dans les Alpes françaises, des Highlands accidentés d’Écosse et de nombreux autres endroits magnifiques dans le monde. Alors, que vous cherchiez une façon inoubliable de voir des points d’intérêt familiers ou d’explorer de nouveaux horizons, les vols en hélicoptère sont sûrs de vous offrir un vol dont vous vous souviendrez.

Voler en hélicoptère peut vous faire vivre de grandes pensées intérieures. C’est une expérience fantastique que tout le monde devrait tenter. Lorsque vous volez en hélicoptère, vous pouvez voir le monde d’un point de vue différent. Vous serez en mesure de voir des choses que vous n’avez jamais vues auparavant. C’est une expérience que vous n’oublierez jamais.

Un vol en hélicoptère peut vous offrir une excellente façon de voyager. Il y a beaucoup d’avantages à faire un voyage en hélicoptère. L’un de ces avantages est que vous pouvez commencer à voir le monde sous un angle différent. Lorsque vous volez en hélicoptère, hélicoptère à Bordeaux vous pouvez voir des points que vous ne pouviez en aucun cas voir juste avant. Un autre grand avantage de faire un tour en hélicoptère est que vous pouvez voyager dans une variété d’endroits. Vous pouvez aller dans des endroits que vous n’auriez jamais pu visiter si vous n’aviez pas un hélicoptère.

Chinois: trop compliqué

Dialectes chinois, également appelés dialectes sinitiques, orientaux han, principal groupe de vocabulaire des pays d’Asie orientale, issus des membres de la famille du vocabulaire sino-tibétain. L’oriental est présent dans de nombreuses variétés connues sous le nom de dialectes, mais qui sont généralement considérées comme des dialectes individuels par les érudits. Plus de gens parlent un certain nombre de chinois comme langue maternelle que toutes les autres langues de la planète, et le chinois standard moderne fait partie des six langues établies des Nations Unies. Les types parlés d’oriental sont mutuellement inintelligibles pour leurs haut-parleurs audio respectifs. Ils diffèrent les uns des autres à peu près au même degré parce que les dialectes contemporains de l’Amour. La plupart des différences se produisent dans la prononciation et la langue ; vous trouverez quelques distinctions grammaticales. Ces dialectes se composent de mandarin dans les régions occidentales du nord, principales et traditionnelles de l’Extrême-Orient; Wu ; Nord et la zone sud de Min; Gan (Kan) ; Hakka (Kejia); et Xiang ; et cantonais (Yue) dans le sud-est du pays. Toutes les langues chinoises parlent d’une langue littéraire commune (wenyan), imprimée en caractères et basée sur un corpus littéraire typique. Cette langue littéraire n’a pas un seul régulier de prononciation ; un locuteur d’un vocabulaire lit des messages texte selon les directives de prononciation de sa propre langue. Avant 1917, le wenyan était utilisé pour presque tous les écrits ; car ce jour-là, il est de plus en plus approprié de créer dans le design vernaculaire (baihua) à la place, ainsi que la vieille langue littéraire se meurt dans la vie quotidienne de la Chine contemporaine. (Son utilisation continue dans certains cercles littéraires et savants.) Au début des années 1900, un logiciel pour votre unification de la langue nationale, basé sur le mandarin, a été publié ; cela a abouti au chinois standard moderne. En 1956, un nouveau système de romanisation appelé Pinyin, dépendant de la prononciation des caractères du dialecte de Pékin, a été mis en œuvre en tant qu’outil éducatif pour aider à la propagation du vocabulaire régulier moderne. Modifié en 1958, le système a été formellement prescrit (1979) pour être utilisé dans tous les documents diplomatiques et magazines de langue internationale dans les pays anglophones. Certains érudits divisent le passé historique des langues orientales en proto-sinitique (proto-oriental ; jusqu’à 500 av. J.-C.), chinois archaïque (âgé) (du VIIIe au IIIe siècle av. J.-C.), oriental historique (centre) (via 907) et moderne. Oriental (de c. le 10ème siècle à nos jours). La période proto-sinitique est la période des inscriptions et de la poésie les plus anciennes ; la plupart des emprunts en chinois avaient été empruntés après cette période. Les œuvres de Confucius et Mencius marquent le début de la période orientale archaïque. La connaissance contemporaine des sons orientaux tout au long de la période historique chinoise provient d’un thésaurus prononçant du vocabulaire de la période antique publié dans la publicité 601 du savant Lu Fayan ainsi que des travaux du savant officiel Sima Guang, publiés au XIe siècle. Le système audio du chinois se distingue par son utilisation de nuances pour suggérer des distinctions de sens entre des termes ou des syllabes qui sont ou bien identiques dans le son (c’est-à-dire qui ont des consonnes et des voyelles similaires). Le chinois standard moderne a 4 nuances, car la langue cantonaise plus archaïque utilise un minimum de six tons, tout comme le chinois ancien. Les mots chinois n’ont généralement qu’une syllabe, même si l’oriental moderne peut utiliser davantage de substances que le vocabulaire antérieur. Dans les mots de substance orientale, il y a quelques préfixes ou infixes, mais il y a beaucoup de suffixes. Peu de termes se terminent par une consonne, sauf dans des dialectes archaïques comme le cantonais. Un terme oriental est de type invariable (c’est-à-dire qu’il n’a pas de marqueurs flexionnels ou de marqueurs pour indiquer les zones de parole) et, à l’intérieur du tableau autorisé par sa signification intrinsèque, peut servir de n’importe quel domaine de conversation. Puisqu’il n’y a pas d’inflexion de mot dans la langue, il y a un ordre des termes réparé. L’individu et le montant sont indiqués dans le pronom plutôt que dans le verbe. L’oriental n’a pas d’article défini (c’est-à-dire aucun terme qui signifie « le »), même si le terme signifiant « un » et l’adjectif démonstratif sont parfois utilisés comme messages dans la langue de nos jours. Les adjectifs, qui sont probablement d’origine verbale, ne sont pas fléchis pour le niveau de comparaison et peuvent être utilisés comme adverbes sans aucun changement de type.

Le futur pourrait ne pas être chinois

L’Extrême-Orient se prépare à des temps difficiles. Traditionnellement, la Chine a mené ses réformes les plus importantes en période de crise. Le mandat donné par le 20e Congrès national du Parti communiste et le président Xi Jinping à ses alliés les plus proches s’inscrit dans cette conception. Le mois dernier, l’attention du monde entier s’est portée sur le vingtième Congrès national du Parti communiste de l’Extrême-Orient (PCC). Au-delà des avancées spectaculaires – en particulier la confirmation du président Xi Jinping pour un troisième mandat au pouvoir -, le Congrès a livré un rapport qui donne à réfléchir, dans lequel Xi a affirmé que, face à des défis externes et internes sans précédent, le Parti et la nation devaient se préparer à des temps plus difficiles. Dans ses deux premières conditions, Xi s’est concentré, dans un premier temps, sur la consolidation des énergies et l’éradication de la corruption. En termes de plan social et financier, sa principale priorité était d’éradiquer la pauvreté totale et de construire une « société modérément productive » (xiao kang). Mais au cours des cinq années suivantes, Xi va opérer un changement radical dans la politique chinoise, en créant une sécurité nationale améliorée, au lieu d’une amélioration économique, le principal objectif de sa gestion. Le climat économique doit permettre d’assurer la sécurité de l’ensemble du pays en assurant la fiabilité personnelle de systèmes et de matériaux importants – par exemple, les semi-conducteurs – dans le cadre de la stratégie « Made in The far east 2025 » de Xi.

Le climat économique de la Chine est, bien entendu, soumis à d’importants vents contraires. Au cours du troisième trimestre de 2022, le développement économique est resté faible, à 3,9 %, notamment en raison de la politique du zéro COVID, qui a entraîné des fermetures dans de nombreuses villes et régions. Le marché de l’immobilier est de plus en plus précaire, et la bourse a atteint un plancher record après le Congrès. Le chômage est en hausse. Dans le même temps, les relations mondiales de la Chine sont de plus en plus tendues. L’imposition par les États-Unis de nouvelles restrictions radicales concernant la vente de semi-conducteurs à la Chine n’est que la dernière escalade en date dans une bataille industrielle et technologique impliquant les deux plus grandes économies du monde. Les avertissements de hauts fonctionnaires américains selon lesquels l’Amérique doit se préparer à une invasion orientale de Taïwan exacerbent encore les tensions.

L’Amérique s’oppose fermement à une déclaration de liberté de Taïwan – et pour de bonnes raisons : Presque tous les Chinois la considéreraient comme une déclaration de guerre à la Chine. Ce type d’événement serait véritablement désastreux pour la planète, car il pourrait sans peine dégénérer en un affrontement nucléaire. Le problème de Taïwan doit donc être traité avec délicatesse, sans qu’aucune des deux parties ne cherche à aggraver les frictions. Comme l’a remarqué le scientifique gouvernemental Zheng Yongnian en 2019, l’Extrême-Orient risque de tomber dans deux pièges : le piège du revenu central et le piège de Thucydide. Pour les éviter et construire une Chine prospère, contemporaine, sûre et centrée sur le peuple, il faudra une gestion efficace et sage. Il ne fait aucun doute que la nouvelle direction est unie derrière Xi, car elle a travaillé en étroite collaboration avec lui dans le Fujian, le Zhejiang et à Shanghai avant son accession à la direction principale.

Les associés du nouveau comité permanent ont également des liens puissants avec Xi. Wang Huning, qui siégera probablement à la réunion consultative gouvernementale nationale, a été un conseiller politique fiable non seulement pour Xi, mais aussi pour ses prédécesseurs, Jiang Zemin et Hu Jintao. Zhao Leji, qui présidera probablement la prochaine Assemblée populaire nationale, était à la tête de l’organe de lutte contre la corruption lors du dernier mandat de Xi. L’accès à un poste élevé aux niveaux national et provincial dépend de l’élection d’un fonctionnaire au comité principal, qui comprend 203 membres titulaires et 168 membres suppléants. Si le nombre d’associés du comité principal issus d’organisations internationales de l’enseignement supérieur (ou même du secteur monétaire) a diminué, il n’est vraiment pas négligeable. Par exemple, Yin Yong, ancien gouverneur adjoint de la Banque populaire de Chine, a fait des analyses à l’Université de Harvard. He Lifeng, l’actuel chef de l’agence de planification de l’État chinois et probablement prochain vice-premier ministre, a étudié à la fois en Chine et aux États-Unis.

L’apprentissage des machines

Dans l’ombre de la Grande Dépression, Paul Samuelson a placé les problèmes vraiment intéressants et vitaux de la politique économique globale » – notamment le chômage persistant – au début de son texte d’introduction. Ce que les futurs citoyens ont appris de leurs cours d’économie a été transformé par les nouvelles connaissances – l’économie keynésienne – appliquées aux nouveaux problèmes. Cette colonne demande si nous sommes maintenant à un stade similaire. À l’aide de la modélisation thématique, il constate que les nouveaux thèmes de la recherche publiée au cours des dernières décennies – des concepts qui permettent aux économistes de relever les grands défis actuels du changement climatique, des inégalités et de l’avenir du travail et des droits de propriété dans l’économie fondée sur la connaissance – sont étonnamment absent des principaux manuels d’aujourd’hui.
Paul Samuelson a expliqué la motivation de son manuel d’introduction à l’économie de 1948 en ces termes : Aujourd’hui, le non-spécialiste en physique mérite et s’attend à en apprendre davantage sur l’énergie atomique et la structure nucléaire au cours de sa première année d’études, plutôt que de rester embourbé dans des expériences élémentaires sur la chute. corps et calorimétrie thermique. Pourquoi alors les professeurs d’économie retiendraient-ils du cours de première année les problèmes vraiment intéressants et vitaux de la politique économique globale ? (Samuelson 1948 : vi)
À l’époque, les étudiants en physique apprenaient en effet beaucoup sur les plans inclinés. Ce n’est qu’en 1961 que Richard Feynman a emmené ses étudiants de première année au California Institute of Technology à la frontière de la physique moderne en utilisant un langage simple, avec un minimum de mathématiques, pour leur enseigner la physique quantique et la relativité.
« Samuelson, 1948 » : Problèmes urgents et nouvelle théorie enseignable
Parce qu’il est devenu la norme de l’industrie dans ses nombreuses éditions et parce que le livre lui-même a changé au fil du temps, il est facile aujourd’hui de ne pas voir à quel point la première édition du livre de Samuelson était radicale. Samuelson a reporté le point de départ auparavant conventionnel, Détermination du prix par l’offre et la demande », jusqu’à la troisième partie, qui commence à la page 447. Exactement dix pages plus tard, nous lisons : C’est tout ce qu’il y a dans la doctrine de l’offre et de la demande. Il ne reste plus qu’à indiquer quelques-uns des cas auxquels elle peut s’appliquer et d’autres auxquels elle ne peut pas.
Même dans la troisième partie, Samuelson adopte un ordre non conventionnel des sujets, où l’étudiant rencontre d’abord l’entreprise en concurrence monopolistique (comprend la plupart des entreprises et des industries », p. 492) avant une section sur l’entreprise parfaitement compétitive (comprend quelques industries agricoles ») . Et à peine deux pages dans cette section, il introduit la baisse des coûts et l’effondrement de la concurrence » (p. 505).
Pour évaluer la nouveauté du texte de Samuelson, nous utilisons une méthode d’apprentissage automatique – la modélisation thématique – pour comparer Samuelson (1948) à l’édition de 1930 d’un texte écrit par Richard T. Ely et d’autres, qui a été publié pour la première fois en 1893 et ​​a dominé le Marché américain avant Samuelson.
Nous nous demandons quels sont les thèmes qui caractérisent le mieux la distribution des mots trouvés dans un large corpus de recherche économique (27 436 articles de recherche publiés dans des revues majeures entre 1900 et 2014).1 Les thèmes, appelés sujets, sont des vecteurs de mots (chacun pondéré par son importance dans ce sujet particulier). Après avoir extrait les sujets de plus de 100 ans de recherches publiées, nous nous demandons alors : lequel de ces sujets caractérise le mieux les manuels que nous souhaitons comparer ?
La figure 1 compare le texte de Samuelson de 1948 avec Ely et. l’édition de 1930 d’al. La longueur de chaque barre de contour mesure l’importance de ce sujet dans la prise en compte des mots apparaissant respectivement dans Ely et al. (dans les barres à droite de l’axe vertical) et dans Samuelson (dans les barres à gauche.) Chaque barre pleine montre la différence de poids entre les manuels sur le sujet en question. Les barres pleines à droite montrent un poids plus important sur ces sujets dans Ely et al. que dans Samuelson et vice versa.
Ely et al. accordent plus d’importance aux sujets liés à l’organisation et à la réglementation des entreprises, aux transports et à l’agriculture, au Gold Standard et à l’impôt sur le revenu que ne le fait Samuelson. La nouveauté de Samuelson se révèle dans l’importance des sujets concernant la demande globale (numérotés 89 et 33 ; les numéros de sujets sont arbitraires).
Le propre point de vue de Samuelson sur la nouveauté de son texte est le suivant (tiré de la page 2020 de l’édition de 1955 de son livre):
… J’ai présenté ce que j’appelle une grande synthèse néoclassique. Il s’agit d’une synthèse (1) du noyau valide de la détermination moderne du revenu avec (2) les principes économiques classiques. Son principe de base est le suivant : résoudre les problèmes vitaux du chômage par les outils de l’analyse des revenus validera et remettra en cause les vérités classiques.
Alors que les politiques macroéconomiques éclairées par la synthèse de Samuelson étaient adoptées dans le monde entier et que la crainte d’une autre Grande Dépression s’estompait, les « vérités classiques » ont en effet repris leur place d’honneur dans la table des matières ; les éditions ultérieures du livre de Samuelson ont inversé l’ordre et la logique de son texte de 1948 et placé la microéconomie au début.
Un boom des chiffres de l’offre et de la demande en a résulté : ils constituaient plus d’un tiers des chiffres analytiques de Samuelson et Nordhaus (1998), contre un cinquième dans l’édition initiale du livre de Samuelson un demi-siècle plus tôt. L’échange dans le cadre de contrats complets par des commerçants preneurs de prix à un équilibre d’équilibre concurrentiel du marché était devenu le modèle de référence pour les étudiants de premier cycle.
Un autre moment « Samuelson, 1948 » ?
Ce repère faisait sens pour Samuelson et ceux qui ont suivi son retour aux vérités classiques » car le problème de l’instabilité et du chômage de masse n’était plus l’enjeu dominant des politiques publiques et de la protection sociale. Mais aujourd’hui, s’appuyer sur ce modèle est un obstacle à la compréhension des institutions économiques et des problèmes de la civilisation américaine », pour reprendre l’expression de Samuelson aux fins de son livre. Les problèmes urgents aux États-Unis et ailleurs incluent désormais le changement climatique, les disparités économiques et l’avenir du travail et de la propriété privée dans une économie basée sur la connaissance et les soins.
L’économie a également évolué, comme le montrent les résultats de la modélisation thématique de la figure 2. Les thèmes macroéconomiques qui ont pris de l’importance au lendemain de la Grande Dépression sont notamment moins pesés dans le corpus de recherche de la période récente, tout comme les thèmes de la microéconomie marshallienne (concurrence et structure du marché » et élasticité de l’offre et de la demande »).
Reflétant également un éloignement de la microéconomie marshallienne, parmi les sujets les plus pondérés dans le corpus de recherche récent figurent les interactions stratégiques sous information incomplète (interactions stratégiques, information asymétrique, « théorie des jeux et économie comportementale », et signalisation d’équilibre…). Les pondérations thématiques dans le corpus récent reflètent également la réaffirmation de l’économie comme discipline empirique (Angrist et al. 2017).
Ce qui est frappant dans la comparaison de la figure 2, c’est à quel point le corpus du milieu du siècle est peu retenu dans la recherche du XXIe siècle. Le seul sujet ayant un poids substantiel dans les deux périodes est la stabilité de l’équilibre… ». Les thèmes les plus importants au milieu du siècle (fluctuations de la demande globale, « études empiriques de l’industrie », et élasticité de l’offre et de la demande ») ont presque entièrement disparu du corpus récent. En conséquence, les interactions stratégiques nouvellement importantes… » et l’économétrie appliquée… » avaient des poids très faibles au milieu du siècle.
Éléments d’une nouvelle référence embryonnaire
Pour la plupart, les nouveaux concepts importants n’ont pas été développés en réponse à l’émergence de nouveaux problèmes sociaux et économiques. L’information asymétrique », par exemple, a pris de l’importance avec les modèles principal-agent des marchés du crédit et du travail qui ont fourni les fondements microéconomiques manquants pour le multiplicateur keynésien et le chômage involontaire. Mais ceux-ci, ainsi que la théorie des jeux et l’économie comportementale, fournissent certaines des clés pour comprendre les inégalités économiques : à travers l’exercice du pouvoir sur des marchés non compensés et l’importance des normes sociales et des rentes économiques.
La transformation du corpus de recherche au cours du dernier demi-siècle peut-elle constituer la base d’une nouvelle référence pour l’enseignement de l’économie ? Tout modèle de référence en économie doit (consciemment ou non) prendre position sur ce que sont les gens, les règles du jeu qui régissent nos interactions, les interactions de l’économie avec la société et la biosphère, quelles sont les questions primordiales à posées, et les méthodes par lesquelles elles peuvent être répondues.
Le corpus de recherche moderne a pratiquement abandonné le référentiel conventionnel d’équilibre parfaitement concurrentiel mentionné ci-dessus, sans articuler de remplacement. Mais les éléments d’un nouveau benchmark constituent déjà le cadre de référence que la plupart des économistes de la recherche utilisent. Répondant en 1947 aux critiques de son nouveau texte (encore ronéotypé), Samuelson écrit : Les méthodes d’analyse utilisées sont celles qui ont été employées par 90 % des économistes universitaires actifs de moins de 50 ans au cours de la dernière décennie » (Giraud 2014 : 141).
Nous pensons qu’il en va de même pour un nouveau benchmark qui pourrait être construit sur les bases suivantes. L’économie fait partie du système social et de la biosphère. Les gens sont à la fois intéressés et soucieux des autres; les entreprises et les autres acteurs interagissent de manière stratégique (pas seulement en tant que preneurs de prix) sur les marchés, les communautés, les familles et les États ; les règles du jeu distinctes régissant les interactions économiques dans ces contextes institutionnels et dans d’autres sont la clé pour comprendre et évaluer l’efficacité, l’équité et d’autres aspects des allocations qui en résultent. La stabilité et l’instabilité sont des caractéristiques de la dynamique de ce système. L’économie est une science empirique qui cherche à évaluer les résultats sur la base non seulement d’une conception limitée de l’efficacité, mais également de la justice distributive et de la durabilité biophysique.
Un nouveau modèle de référence pédagogique
Si l’analyse quantitative des manuels scolaires à partir des thèmes découverts dans le corpus de recherche ne permet pas de saisir adéquatement des repères contrastés, elle peut néanmoins révéler des différences saillantes.
Dans notre recherche, nous comparons un certain nombre de manuels de principes contemporains, y compris ceux de Mankiw, Krugman et Wells, et Acemoglu, Laibson et List. Nous incluons également un nouveau texte en libre accès – The Economy de l’équipe CORE – auquel nous avons tous deux contribué. Des comparaisons entre le livre de l’équipe CORE et le livre de Mankiw sont présentées ici, mais les résultats sont similaires pour les autres manuels. Comme on peut le voir, tous les manuels modernes partagent une couverture substantielle des sujets standard de l’économie de la concurrence et de la structure du marché « , de l’élasticité de l’offre et de la demande » et des fluctuations de la demande globale « .
Les manuels modernes sont à d’autres égards similaires les uns aux autres, mais différents de CORE. Alors qu’à la différence de Samuelson (1948), ils introduisent la théorie des jeux et l’économie comportementale », et le développement international comparé », CORE leur accorde beaucoup plus d’attention puisqu’il construit d’emblée une nouvelle référence. La nouveauté du sujet de CORE réside dans l’introduction de l’innovation « et l’histoire économique, l’histoire de la pensée économique », et une plus grande couverture du changement institutionnel « et de la concurrence politique démocratique ».
Comme Samuelson (1948), le texte CORE modifie l’ordre dans lequel les sujets sont introduits. La logique d’enseignement du nouveau modèle de référence comme le fait CORE est de commencer par un acteur prenant une décision « contre nature » (quelle technologie utiliser ? combien d’heures de travail ?), puis d’introduire des interactions stratégiques – y compris non marchandes – entre les acteurs et les règles selon lesquelles ces interactions se produisent, et donc le rôle des institutions et des normes.
Les limites informationnelles sur la nature des contrats passent par ces éléments fondamentaux, qui sont réunis pour analyser les décisions prises par les entreprises, telles que la fixation des salaires et des prix. Les effets externes, les biens publics et les problèmes principal-agent qui sont essentiels pour étudier le changement climatique, les inégalités et l’économie basée sur la connaissance et les soins font partie des repères que les élèves apprennent dans les sept premiers chapitres. Une fois ces bases posées, le cas particulier des acteurs preneurs de prix est présenté au chapitre 8 comme un cas limite éclairant, plutôt que comme le modèle de fonctionnement de l’économie auquel s’ajoutent imperfections et déviations.
La nouvelle référence apporte l’avantage supplémentaire dans l’enseignement de permettre une transition en douceur vers une économie globale dans laquelle la politique est faite par des acteurs déterminés, il y a un chômage involontaire à l’équilibre et les contraintes de crédit sont endémiques. Les agents hétérogènes dans ce modèle sont les mandants et les agents sur les marchés du travail et du crédit, et dans la relation entre une banque centrale et des banques commerciales.

La plongée pour toute la famille

Il n’y a absolument aucun meilleur moyen d’explorer l’océan que la plongée. La plongée vous permet de vous rapprocher de la planète sous-marine et d’éprouver des sensations nouvelles et excitantes.

Que vous soyez un débutant ou un plongeur expérimenté, il existe constamment quelque chose de totalement nouveau à découvrir et à expérimenter lorsque vous plongez. Qu’attendez-vous exactement ? Rendez-vous sur le site de plongée le plus proche et commencez à découvrir les miracles de la mer !

Pourquoi la plongée est un excellent exercice pour toute la famille. La plongée est une excellente activité pour toute la famille pour un certain nombre de raisons. Pour commencer, la plongée est vraiment une activité sportive assez sûre qui ne nécessite pas beaucoup d’équipement coûteux. De plus, le plongeon peut être pratiqué dans de nombreux endroits, du bord de mer à la piscine intérieure. En outre, le plongeon est un excellent moyen de s’entraîner et de profiter de l’extérieur. Enfin, le plongeon est une activité qui peut être appréciée par des personnes de tout âge et de toute condition physique. Que vous cherchiez une méthode pour créer des liens avec la famille ou que vous souhaitiez simplement prendre l’air, le plongeon est un excellent choix. Qu’attendez-vous exactement ? Sortez et commencez à vérifier la planète sous-marine aujourd’hui !

L’observation de la planète sous-marine est une rencontre vraiment mystique. Que vous fassiez de l’apnée ou de la plongée, vous verrez un nouveau monde rempli de vie. Des poissons aux couleurs vives aux dauphins joueurs, il y a beaucoup à découvrir. Et en plus de cela, il est relativement facile de commencer. Avec juste un peu de pratique, vous pourriez être sur la bonne voie pour découvrir les miracles de la planète sous-marine.

Les épaves sont une méthode étonnante pour explorer la planète sous-marine. Il existe des épaves de toutes tailles, des petites embarcations aux énormes navires. Et chaque épave a sa propre histoire à raconter. Plonger sur une épave peut être une expérience extrêmement excitante et éducative. En outre, plonger sur des épaves peut également être un excellent moyen de faire de l’exercice et de profiter du plein air.

Pour de nombreux plongeurs, plonger sur des épaves est l’une des choses les plus excitantes et fascinantes que l’on puisse faire. Non seulement les épaves regorgent fréquemment de vie marine, mais elles offrent également un aperçu du passé. Lorsqu’une cuisine de livraison coule, elle devient un récif artificiel, offrant un foyer à un certain nombre de poissons ainsi qu’à d’autres micro-organismes. En outre, les épaves peuvent être d’excellents endroits pour découvrir des variétés inhabituelles que vous ne connaîtriez pas normalement. Par conséquent, plonger autour des épaves peut être un moyen formidable d’observer une grande variété de vie marine.

Les espèces de poissons vulnérables sont celles qui risquent d’être éliminées. Cela peut être dû à diverses raisons, comme la surpêche, la pollution et la réduction de l’habitat.

Il existe de nombreuses variétés de poissons menacés dans le monde entier, et la plongée est l’un des moyens idéaux de les voir. La plongée vous permet de vous approcher de près de ces fruits de mer, et vous pouvez contribuer à leur conservation.

Chaque fois que vous plongez avec une espèce de poisson en voie de disparition, vous pouvez contribuer à sensibiliser les gens à leur sort et aider à leur conservation. En outre, plonger avec des poissons vulnérables peut également être un excellent moyen de faire de l’exercice et de profiter du plein air.

Plonger est l’une des meilleures façons de voir les fruits de mer de près. Lorsque vous plongez, vous pouvez vous retrouver les yeux dans les yeux avec toutes sortes de fruits de mer différents, des petits alevins aux énormes requins. En outre, baptême de plongée la plongée vous permet d’être aux premières loges pour observer tous les mouvements qui se produisent sous l’eau. L’un des meilleurs aspects de la plongée est le fait qu’il est relativement simple de s’y mettre. Avec juste un peu de pratique, vous pouvez être sur la bonne voie pour découvrir la planète sous-marine.