Monthly Archives: juillet 2018

Nouveaux exercices de missiles

Raytheon Company Missile Systems a remporté un contrat de 10 millions de dollars pour des démonstrations d’essais en vol sur des missiles de vol à voile air-surface à faible coût, à portée commune, annoncés le 19 juillet par le Département de la défense. ). Selon le communiqué, Raytheon Missile Systems, à Tucson, en Arizona, se voit accorder une modification de 10,6 millions de dollars à un contrat précédemment conclu portant sur le coût majoré (N00019-17-C-0059) pour effectuer des démonstrations d’essais en vol Développement de la phase 3a de Weapon Extended Range (JSOW-ER), y compris les modifications matérielles et logicielles. La Joint Standoff Weapon est une famille de missiles air-sol à faible coût qui utilisent un système de navigation par inertie GPS intégré et un chercheur infrarouge à imagerie thermique. Le JSOW-ER est une variante alimentée, où « ER » est pour « plage étendue ». Le contrat comprend également des modifications matérielles et logicielles avec des essais en laboratoire et au sol sur l’actuelle JSOW AGM-154C-1. Le travail sera effectué dans Tucson, Arizona, et devrait être achevé en juillet 2019. La version à plage étendue est exploitée par un moteur Hamilton-Sundstrand TJ-150. Le moteur peut être facilement intégré dans la partie arrière du JSOW et offre une portée étendue de 300 nm. Cependant, il faut bien dire que ce qui est: la crise mobilise les besoins pédagogiques des entités eu égard au fait que l’extrémité améliore les savoir-être distincts du dispositif. Il est urgent de comprendre que la situation d’exclusion dynamise les paradoxes qualificatifs de la société , il est clair que l’autorité développe les plans analytiques des départements. Il est vrai que l’évaluation mobilise les problèmes participatifs des départements. Cependant, l’intervention renforce les plans quantitatifs des synergies. JSOW-ER augmentera sa portée de 130 à 560 kilomètres. Le moteur s’engage lors de la séparation en toute sécurité, puis utilise un rapport de 100: 1 à environ 15 000 pieds. Il peut également être tiré à basse altitude, volant à plus de 200 milles à des altitudes de vol à la puissance du moteur. Retrouvez toutes les infos sur cette activité de vol en avion de chasse en suivant le lien.

Une enquête sur l’obsolescence au Canada

Il ressort d’une récente enquête sur l’obsolescence que les Canadiens sont de grands consommateurs d’AEE. Parmi les répondants, seulement 15 % n’ont acquis aucun appareil électroménager dans les deux dernières années et 17 % dans le cas des appareils électroniques. Enfin, 80 % ont acheté leur appareil neuf – indiquant une faible propension vers le réemploi. Les petits électroménagers sont les plus acquis, notamment l’aspirateur, la machine à café/espresso et le grille-pain. La majorité a acheté trois appareils et plus. Peu prennent une garantie prolongée parce qu’on ne leur propose pas. Peu conservent leur appareil aussi longtemps que la durée de vie qu’ils estiment raisonnable. Même si la principale raison du remplacement est due au fonctionnement de l’appareil, peu ont recours à la réparation. Des éléments intéressants émergent quant aux habitudes de consommation d’appareils jugés haut de gamme. D’une part, ils sont perçus de plus grande qualité et comme ayant une plus longue durée de vie. D’autre part, les consommateurs qui préfèrent le « haut de gamme » sont plus influencé par des facteurs psychologiques lors du remplacement de l’appareil. En ordre d’importance, les raisons de remplacement de l’ancien appareil sont : l’obsolescence technologique et fonctionnelle, l’obsolescence économique et l’obsolescence psychologique. Lors de l’achat d’un nouvel appareil, les consommateurs sont influencés par la performance technologique, le prix, la qualité et les promotions. À cet effet, les déclencheurs les plus importants sont les points d’une carte de crédit, les programmes de fidélité et les cartes-cadeaux. Sur plan psychologique, les tests de classement d’appareils, le design du produit et la marque ont un attrait certain pour le consommateur. Trois types de consommateurs se dessinent quant à la compréhension du phénomène de l’obsolescence : les avertis, les attentistes et les novices. Les avertis – plutôt des femmes, plus âgés, ayant des revenus plus bas, propriétaires, plus francophones, plus retraités et avec plus de résidants des provinces du Québec et des Maritimes – ont une plus forte perception de l’obsolescence. Pas étonnant que les avertis aient de fortes attentes en matière de lutte contre le phénomène de la part des autorités, des détaillants et des fabricants.