La pétulance de Trump

Donald Trump a commencé sa présidence par un appel téléphonique en Australie, où il se plaignait de l’accord passé par son prédécesseur plutôt que d’essayer de faire progresser la politique étrangère des États-Unis. Il n’a remporté aucune concession tout en s’aliénant un allié convaincu. Les observateurs ne pouvaient qu’espérer qu’avec le temps, ses intérêts sur la scène mondiale seraient davantage influencés par les intérêts de l’Amérique que par son désir d’être pétulant. Mais presque un an plus tard, il montre ouvertement au monde ce même visage pétulant. Vers 23h Jeudi, après avoir déjà dominé l’actualité de l’inutile objectif diplomatique de déclarer que divers pays étrangers étaient des « nuls », le président Trump a posté le message suivant sur son compte Twitter: La raison pour laquelle j’ai annulé mon voyage à Londres est que je ne suis pas un grand fan de l’administration Obama, car elle a vendu la meilleure ambassade de Londres pour les «cacahuètes», pour en construire une nouvelle dans un lieu reculé pour 1,2 milliard de dollars. Mauvaise affaire. Voulais que je coupe le ruban-NON! UNE De nombreux facteurs déterminent si un président doit faire un voyage à l’étranger: besoin de lui à Washington; les objectifs diplomatiques qu’il compte accomplir; si le déplacement à un endroit particulier est sécuritaire; et ainsi de suite. Mais, à en croire Trump, il n’annule pas une visite à l’un des alliés les plus proches de l’Amérique pour l’une quelconque de ces raisons, ou tout critère permettant de déterminer si la visite aiderait l’Amérique. Il projette l’image d’un homme qui s’annule, un homme qui n’est pas d’accord avec un accord conclu et qui a l’intention de le montrer sans essayer de le renverser. « Se vante-t-il * d’adopter l’adoption de la pétulance comme stratégie de RI? », A demandé Julian Sanchez de l’institut libertaire Cato sur Twitter. « Est-ce que tout le personnel est vraiment si intimidé que personne ne lui dira à quel point cela le rend petit? Et la colère de Trump sur Twitter indique que l’administration Bush a initié le transfert de l’ambassade américaine à Londres. Ils l’ont annoncé en 2008. Parmi les Britanniques informés, il semble donc ne pas être seul pétulant, mais mal informé – ou un menteur qui craint de faire face aux manifestations censées coïncider avec sa visite. Qu’il s’agisse d’un tweet prémédité ou d’un autre événement spontané spontané, il est difficile d’imaginer les hommes ou les femmes contre lesquels Trump s’est présenté lors des primaires ou des élections générales qui ont mal géré cette affaire.

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