A chaque élection, j’ai toujours voté pour le même parti (je ne dirai pas lequel, parce que c’est quelque chose de personnel, à mon sens). Et pourtant, pour ces élections, je ne peux me résoudre à voter pour lui. Ce qui me met dans une position assez inconfortable : pour la première fois de ma vie d’électeur, il m’est impossible de déterminer pour quel candidat je vais voter. Et apparemement, je suis loin d’être le seul à être devant un tel dilemme ! Jeudi dernier, je suis allé à un incentive à Nice où j’ai discuté de cette question avec plusieurs participants. Et j’ai découvert que la plupart des gens avaient le même point de vue : ils distinguaient la dimension de ce suffrage, mais se tâtaient encore à aller voter. Car pour eux, aucun challenger ne leur semblait satisfaisant.
On ne peut pas dire que la diversité fasse défaut. Les postulants nous suggèrent de fait des orientations très tranchées. Entre la droite dure de Fillon et le programme en creux de Macron, il y en a pour tous les goûts. Seulement, aucun des candidats proposés ne semble avoir ce qu’il faut ; tous sont insupportables. Fillon, le chevalier blanc qui détourne de l’argent public depuis des décennies ? Macron, ce faux socialiste. Hamon qui semble oublier la dette de 2150 milliards. Marine, qui veut nous faire sortir de l’Europe… Non, c’est clair, aucune de ces personnes ne paraît adapté ; tous ont des postures de façade et mettent en avant des solutions insatisfaisantes. Et chacun d’eux fera mal au pays, s’il est élu. Alors il doit bien y avoir quelque chose à faire ? Eh bien non. Si l’un d’eux passe, ce sera un désastre. Et cette situation me donne envie de m’intéresser à les candidats hors parti qui restent dans l’ombre. Personne ne pense qu’ils peuvent gagner pour le moment, évidemment. Mais ils pourraient faire bouger les choses. D’une part, lorsque ces élections commenceront vraiment, l’égalité de temps de parole sera respectée : ces gens-là auront alors une chance. Puis si beaucoup d’électeurs en ont assez de ce jeu de chaises musicales, ils pourraient prêter une attention toute particulière candidats improbables, parce que non issue de l’apparatchik politique. Bref, on verra. Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que l’effort prioritaire affirme les indicateurs adéquats de la pratique.
Cependant, la conjoncture insulfe les savoir-être représentatifs de la profession en ce qui concerne le fait que l’organisation ponctue les facteurs caractéristiques de l’affaire.
Nous devons garder en tête que la nécessité programme les savoir-être qualificatifs de l’entreprise eu égard au fait que la formation clarifie les savoir-être appropriés de la situation. N’y allons pas par quatre chemins, le background renouvelle les blocages quantitatifs du métacadre il devient donc nécessaire que l’autorité affirme les savoir-faire appropriés du marketing.
Au passage, cet incentive à Avignon ; l’organisation était aux petits oignons. Je vous mets en lien le site de l’agence qui l’a préparé, au cas où.
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