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Une enquête sur l’obsolescence au Canada

Il ressort d’une récente enquête sur l’obsolescence que les Canadiens sont de grands consommateurs d’AEE. Parmi les répondants, seulement 15 % n’ont acquis aucun appareil électroménager dans les deux dernières années et 17 % dans le cas des appareils électroniques. Enfin, 80 % ont acheté leur appareil neuf – indiquant une faible propension vers le réemploi. Les petits électroménagers sont les plus acquis, notamment l’aspirateur, la machine à café/espresso et le grille-pain. La majorité a acheté trois appareils et plus. Peu prennent une garantie prolongée parce qu’on ne leur propose pas. Peu conservent leur appareil aussi longtemps que la durée de vie qu’ils estiment raisonnable. Même si la principale raison du remplacement est due au fonctionnement de l’appareil, peu ont recours à la réparation. Des éléments intéressants émergent quant aux habitudes de consommation d’appareils jugés haut de gamme. D’une part, ils sont perçus de plus grande qualité et comme ayant une plus longue durée de vie. D’autre part, les consommateurs qui préfèrent le « haut de gamme » sont plus influencé par des facteurs psychologiques lors du remplacement de l’appareil. En ordre d’importance, les raisons de remplacement de l’ancien appareil sont : l’obsolescence technologique et fonctionnelle, l’obsolescence économique et l’obsolescence psychologique. Lors de l’achat d’un nouvel appareil, les consommateurs sont influencés par la performance technologique, le prix, la qualité et les promotions. À cet effet, les déclencheurs les plus importants sont les points d’une carte de crédit, les programmes de fidélité et les cartes-cadeaux. Sur plan psychologique, les tests de classement d’appareils, le design du produit et la marque ont un attrait certain pour le consommateur. Trois types de consommateurs se dessinent quant à la compréhension du phénomène de l’obsolescence : les avertis, les attentistes et les novices. Les avertis – plutôt des femmes, plus âgés, ayant des revenus plus bas, propriétaires, plus francophones, plus retraités et avec plus de résidants des provinces du Québec et des Maritimes – ont une plus forte perception de l’obsolescence. Pas étonnant que les avertis aient de fortes attentes en matière de lutte contre le phénomène de la part des autorités, des détaillants et des fabricants.

Mon baptême de voltige à Namur

La semaine dernière, près de Namur. Il ne fait pas spécialement chaud mais je suis en nage. C’est que, voyez-vous, j’ai la frousse. Je suis dans un aéroclub, à bord d’un Cap 10B, un appareil qui va bientôt me faire vivre un baptême d’acrobaties en plein ciel. Cela faisait un bail que j’y songeais, et lorsque l’occasion s’est présentée, je ne pouvais passer à côté : j’ai sauté dessus ; mais maintenant, le doute m’habite. Mais il est trop tard tout annuler. Antoine, mon ange-gardien, m’informe en effet qu’il est temps d’y aller. Il démarre l’avion (qui fait un vacarme de tous les diables malgré le casque), qui file bientôt sur la piste et décolle quelques secondes plus tard. Les dés sont lancés. Une minute plus tard, Antoine me dit qu’on va attaquer la voltige. Il commence d’emblée avec un immelmann et je pousse un juron. C’est plus agressif que ce à quoi je m’étais préparé ! Et ce n’était que le début. Antoine poursuit immédiatement avec plusieurs virages qui me font l’effet de gifles. Une seconde de pause à peine, puis on enchaîne. C’est tellement brutal que je dois contracter mes muscles pour éviter le black-out. Des fois, je dois supporter plus de 5G : je pèse alors cinq fois plus lourd qu’en temps normal. C’est difficile de dire l’effet que ça fait, mais pour résumer : c’est difficile à supporter ! Et tout s’enchaîne à un tel rythme que les points de repère les plus simples ont disparu : le sol et l’espace tournent à n’en plus finir tout autour de nous. Mais curieusement, même durant les figures les plus dingues, je n’ai plus peur. C’est que je sais que mon pilote maîtrise son appareil. Finalement il est temps de regagner le plancher de vaches. C’était rapide, mais d’un autre côté, je suis enchanté que ça s’arrête enfin : d’ailleurs, à la sortie de l’appareil, j’ai une légère envie de vomir. Une acrobatie de plus et je serais devenu verdâtre. Mais en dépit de ça, je suis radieux. Ce vol est de ceux qui marquent à vie, et je ne peux m’empêcher de sourire bêtement sur le chemin qui me ramène à la maison. Si vous songez à tenter l’aventure, sachez quand même que l’expérience est rude et n’est psa pour tout le monde. Même si le pilote ajuste sa façon de voler en fonction des réactions du passager, certains n’apprécieront pas du tout l’expérience. Vous n’avez qu’à jeter un oeil sur le site par lequel je suis passé pour ce baptême de voltige à Namur, si je ne vous ai pas découragé. 🙂 Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de cette activité de voltige aérienne à Namur.

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Le label « Grande École du numérique »

Le label « Grande École du numérique » est attribué pour trois ans. Pour être labellisées, les formations – gratuites – doivent répondre à des critères qui visent l’insertion professionnelle de publics prioritaires, pas ou peu qualifiés, notamment issus de quartiers politique de la ville. Une autre condition est de répondre aux besoins des entreprises, administrations et associations en matière de personnels dotés de compétences numériques (programmation et développement, remise à niveau numérique, conception de projets numériques, etc.). Le dispositif soutient l’expérimentation de modèles innovants de formation. L’objectif était d’en soutenir environ 400 sur les années 2016 et 2017. Les formations durent en moyenne sept mois. Il s’agit aussi de créer des passerelles entre les différentes formations sur un même territoire, dans une stratégie de réseaux. Le Rapport d’activité 2016 de la Grande École du numérique montre que 40 % des formations donnent un titre professionnel, 7 % une attestation de certification professionnelle (niveau B donc bac +2) et 7 % un diplôme. Si le temps moyen en présentiel est de 91 % et le temps de formation en ligne de 9 %, l’apprentissage par la pratique est privilégié dans la quasi-totalité d’entre elles, ainsi que la pédagogie par projet et l’apprentissage collaboratif (mentorat, transmission de pair à pair), afin de correspondre au mieux aux méthodes de travail sur le marché de l’emploi. De plus, l’ensemble des formations labellisées proposent un accompagnement socio-professionnel : aide à la rédaction du CV et de la lettre de motivation, définition du projet professionnel etc. Un suivi est proposé pendant six mois après la sortie de formation. 2 760 apprenants ont commencé une formation en 2016 et 1 827 l’ont achevée en 2016. L’objectif pour la fin 2017 était de compter entre 8 600 et 10 500 jeunes formés ou en formation. Les taux d’insertion professionnelle sont encourageants avec 40 % de retour à l’emploi trois mois après la formation et 64 % après six mois. On parle ici d’emploi non précaire pour 81 % des cas, mais aussi d’entrepreneuriat (16 %) et d’intérim (4 %).

Politique en Estonie

Quel que soit le programme de monsieur Fillon, je ne voterai pas pour lui. A la lumière des pratiques dont il est coutumier (et ce depuis des décennies !), j’en serais incapable. Il ne s’écoule pas un jour sans qu’on découvre une nouvelle facette du monsieur. Et une facette peu ragoûtante, bien sûr. La dernière ? Les 50 000 euros de costumes de cet homme qui prône ouvertement l’austérité pour tous ! La semaine dernière, j’ai d’ailleurs fait un voyage de groupe en Estonie où j’ai examiné la situation avec le reste du groupe. Nous étions de partis politiques différents, et les esprits se sont donc vite échauffés au cours de la discussion. Cependant, il est vite devenu clair que nous partagions une même idée : pour chacun d’entre nous, monsieur Fillon ne mérite pas de représenter le peuple. Et s’il était élu, ce serait un désastre : un président qui agirait comme il le fait serait un dictateur. Son maintien comme champion des LR montre à quel point notre système politique est corrompu. Il impose sa candidature, car pour lui la France périclite et il faut la sauver. Mais en fait, le fait est qu’il a lui-même créé les conditions d’un possible désastre. Il est devenu trop clivant, et a par conséquent obligé les électeurs républicains à faire un choix radical : continuer à le soutenir, pencher pour Macron, ou donner leur voix au Front National. Il fait d’une élection où la droite devait s’imposer haut la main une autoroute pour En Marche et le Front National.Fillon paraît ne pas s’apercevoir qu’il est hors course, mais je trouve cela étonnant. Comment un candidat qui a fait de la probité son cheval de bataille pourrait-il être élu dans ces conditions ? L’irresponsabilité de Fillon est franchement confondante. Ou bien, le calcul est plus d’ordre politique : il entend profiter de l’immunité de la fonction suprême pour se dépatouiller de ses affaires. Je ne vois que ça pour expliquer cette frénésie à imposer une campagne démente à tout prix ! En tout cas, il donne une bien mauvaise image de nos élus ! Dans un tout autre registre, ce voyage de groupe s’est avéré très agréable. D’ailleurs, voici le site du prestataire, si vous ne connaissez pas la destination… 🙂 Davantage d’information est disponible sur le site de l’organisateur du voyage en Estonie. Cliquez sur le lien.

Police : l’intégration de ressources extérieures

Face à la difficulté à disposer au sein de ses propres effectifs de compétences spécifiques, la gendarmerie s’est organisée pour s’adapter aux enjeux émergents et compenser les carences en profils particuliers. Par le décret n°2008-959, l’institution a la possibilité de recruter par contrat des officiers ou sous-officiers pour satisfaire des besoins immédiats. Un arrêté du 21 janvier 2011 fixe la liste des emplois concernés. Assez hétérogène, ce panel est évolutif et doit couvrir l’ensemble des domaines. Au nombre de 15 en 2005, ces « commissionnés » étaient 98 début 2016, reflet d’un recours accru à ce levier de recrutement. Toutefois, 75% sont des psychologues et le C3N n’a incorporé que trois docteurs en informatique. Par ailleurs, le cadre administratif du « commissionnement » demeure rigide. Si la durée maximale cumulée des contrats est relativement longue (17 ans), les personnels n’ont pas la possibilité d’intégrer définitivement la gendarmerie à l’issue de cette période. Le commissionnement peut aussi s’avérer contraignant en termes de gestion globale des ressources humaines. Les commissionnés sont en effet intégrés à des grades correspondant à un niveau de rémunération. Or les grades ainsi occupés sont autant de promotions potentiellement bloquées pour les militaires de la filière classique. Moins nombreux que les commissionnés, la gendarmerie a aussi recours à des agents contractuels pour des besoins davantage ponctuels et des missions spécifiques. Sans offrir d’opportunités de carrière sur le long terme, les émoluments proposés seraient en phase avec le secteur privé. Ce type de recrutement est toutefois en voie de diminution. Dans un cas comme dans l’autre, un travail d’analyse et d’anticipation des besoins est réalisé et permet à chaque direction ou région d’exprimer ses objectifs de recrutement ou de formation. Pour sa part, la police ne dispose pas d’équivalent au principe des emplois commissionnés. C’est ainsi que la plupart des besoins en profils scientifiques sont pourvus par l’intermédiaire de recrutements sur concours ou via les formations spécialisantes des policiers en poste. La sous-direction de la police technique et scientifique (PTS) parvient toutefois à intégrer des personnels contractuels au sein de ses effectifs, même si la règle reste l’intégration par voie de concours. La DGSI dispose elle aussi de la possibilité de recourir à des recrutements contractuels. Cette tendance semble s’être accélérée depuis que cette direction est devenue autonome. Mais la part des effectifs contractuels y a été plafonnée à 15% afin de « garantir l’identité policière du service ». A titre de comparaison, cette proportion atteint déjà 23% à la DGSE. Au final, l’emploi de contractuels au sein des forces de sécurité s’apparente davantage à une exception très localisée qu’à une réelle possibilité offerte à l’ensemble des directions. La nouvelle donne opérationnelle oblige pourtant les institutions policières à adapter leurs stratégies RH, notamment en matière d’emplois scientifiques. Les institutions doivent encore améliorer leur attractivité et apprendre à anticiper leurs besoins. Pour cela, les règles de gestion doivent évoluer vers plus de souplesse et de fluidité. Une dynamique naissante mais prometteuse semble engagée, qu’il convient d’encourager et de faciliter.

A Bruxelles

L’affaire Fillon a, à bien des égards, été en tous points exemplaire : elle a montré combien les politiques se fichaient royalement de la tête des électeurs ; peu d’affaires ont montré à ce point les ficelles grossières dont usent les politiques pour se défausser des accusations qui leur sont faites. Il y a peu, je me suis rendu à Bruxelles à l’occasion d’un incentive où j’ai pu débattre de ce scandale avec d’autres personnes. Et l’échange a, comme vous pouvez vous en douter, été animé ! Certaines personnes y avançaient en effet que Fillon a été intelligent et réactif tout du long, qu’il a fait preuve d’autorité et de grandeur. Mais pour moi, c’est vraiment s’aveugler : ce gars n’a au contraire fait qu’attiser le feu. En effet, s’il s’était excusé dès les premiers jours et avait proposé de payer les sommes perçues, je crois que la question aurait été réglée manu militari ; les citoyens auraient jugé que ces habitudes faisaient partie du paysage à une époque, mais qu’en faisant un geste, Fillon témoignait de sa probité légendaire ; à n’en pas douter, il en serait ressorti réhabilité et même encensé. Au lieu de ça, l’homme a choisi le pire positionnement possible : il a décidé de démentir en bloc, d’accuser les journalistes de misogynies, avant d’envoyer des lieutenants qui se contredisaient sans cesse. Difficile de faire pire que ça… Je crois d’ailleurs que des formulations telles que « je n’ai rien à me reprocher » n’ont fait que renforcer la colère sourde qui régnait chez les électeurs ! Et il n’a pas perdu pied tout seul, soit dit en passant : c’est toute la classe politique qui en supporte aujourd’hui les conséquences ; le représentant des LR a manifesté une insolence de tous les instants, une mauvaise foi absolue qui prouve la corruption qui règne. Peut-être serait-il temps de faire pression sur nos élites et de s’aligner sur les pays nordiques en ce qui concerne la liberté politique : les soutiens de Fillon n’auraient pas pu botter en touche d’une manière aussi immorale au Danemark ! En tout cas, j’ai bien apprécié cet incentive. Si le sujet Fillon a passablement excité les esprits, les animations offertes ont permis de prendre nos distances. D’ailleurs, je vous mets en lien l’agence qui s’en est occupée… Retrouvez toutes les infos sur cette activité incentive à Bruxelles en suivant le lien.

De l’objet social

« Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! », chantait mielleusement le générique d’un formidable film du même nom réalisé par Jean Yanne il y a une quarantaine d’années. On y voyait le patron cynique d’une station de radio repositionnant sa station sur le mode de la charité et de l’amour universels avec, évidemment, comme seul objectif, non pas les bons sentiments, mais… l’accroissement de la publicité. Il serait bon d’organiser, à la faveur des fêtes de fin d’année, une projection privée de ce petit bijou pour Nicolas Hulot, Bruno Le Maire et Emmanuel Macron, les deux premiers bien décidés à modifier le code civil pour que l‘objet social des entreprises soit élargi à « des préoccupations plus sociales et solidaires », le troisième étant hélas tenté de les suivre… Ce projet aussi mièvre que démiurgique a pour but, comme l’a dit Hulot de « faire en sorte que les principes et valeurs de cette économie sociale et solidaire, cette économie pionnière, celle qui tend la main, celle qui partage, celle qui préfère la coopération à la compétition, devienne désormais la norme et non plus l‘exception ». A vous tirer des larmes ! On serait tenté d’objecter au « ministre de la Transition écologique et solidaire » – intitulé baroque qui aurait dû dès l’abord nous faire craindre le pire – qu’il existe déjà toutes sortes de sociétés (ESUS, Scop, Scic…) permettant à leurs fondateurs de poursuivre, s’ils le souhaitent, des objectifs désintéressés dans un cadre fiscal d’ailleurs dérogatoire et favorable – si bien qu’on voit mal en quoi son projet répond à un besoin criant. On pourrait aussi lui faire remarquer que l‘article 1833 du code civil, celui qui vise l’objet social, dispose certes que la société doit « être constituée dans l‘intérêt commun des associés », mais aussi que « toute société doit avoir un objet licite » – naturellement, elle doit aussi respecter, dans son activité, toutes les dispositions légales dont on ne sache pas qu’elles soient, en France, en nombre spectaculairement insuffisant. On pourrait, enfin, lui opposer cette évidence que personne ne pourra sérieusement contrôler que les entreprises souscrivant, dans le futur objet social « élargi », à toutes sortes d’engagements admirables mais parfaitement vagues comme celui de poursuivre « l‘intérêt général économique, social et environnemental », les tiendront bien. Mais il y a pire. Le pire, c’est que nos ministres, en bons Français, sont empreints d’une culture politique héritée du catholicisme et du jacobinisme puis retrempée au marxisme qui interdit même d’imaginer qu’un bien public puisse être obtenu autrement qu’au terme d’une injonction spécifique à faire le bien, si possible exprimée par l’Etat ou écrite dans la loi. Dans cette culture française, a fortiori, on ne croit pas un instant qu’un agent économique souhaitant simplement faire son propre bonheur puisse également, fût-ce par surcroît et inintentionnellement, faire celui de la collectivité. C’est pourtant ce que nous montre à l’envi toute l’histoire du capitalisme : depuis deux cents ans, en cherchant bêtement à s’enrichir, les affreux associés de ces horribles entreprises à l’objet social égoïste ont permis à des milliards d’individus, en Occident, puis dans une grande partie du reste du monde, de gagner en prospérité et en bien-être dans des proportions inimaginables. La philosophie politique française a ici un sévère angle mort : dans la vision anglo-saxonne, qu’illustrent particulièrement Mandeville puis Adam Smith, l’alignement naturel des intérêts entre l’entrepreneur intéressé et la société dans son ensemble est tout simplement acté. On n’oppose nullement l’un à l’autre par principe. Si l’Etat doit parfois intervenir pour corriger un excès, c’est très rarement – pour éviter, par exemple, qu’un monopoliste se transforme en accapareur. En « période de croisière », les uns cherchent à s’enrichir, les autres en retirent produits nouveaux, baisse des prix et amélioration générale de leur condition. Bayer, inventeur de l’aspirine, Ford, introducteur de la première voiture pour tous, ou encore… Apple n’ont jamais été des philanthropes ! Mais l’humanité a considérablement bénéficié des efforts qu’ils ont faits pour accroître leurs profits.

La forme et le fond (du verre)

Dernièrement, je me suis offert un cours d’oenologie à Dijon lors duquel j’ai pu m’apercevoir (une fois de plus) du rôle primordial que peut avoir le verre dans une dégustation. Evidemment, pas dans tous les cas. Par exemple, si vous buvez un simple vin de table et ne prêtez pas attention aux saveurs, le verre que vous utiliserez pour cela ne va pas changer grand-chose.Vous pouvez parfaitement opter pour un gobelet jetable, dans ce cas précis. Ainsi, mon épouse et moi avons employé pas mal de verres tout bêtes pour boire lorsque nous étions en camping. Pour autant, les vins de qualité se mettent tout de même en valeur avec des verres dédiés. Si vous n’avez jamais fait le test, je vous conseille de goûter le même vin dans plusieurs verres très différents. Vous pouvez me croire, vous savourerez autant de vins différents ! L’oenologue nous a d’ailleurs rapporté une histoire hilarante à ce propos. Il a failli se mettre tous les convives à dos durant une soirée oenologique qu’il avait animée : tous les goûteurs pensaient qu’il leur proposait des vins de différentes qualités alors qu’il avait seulement servi le même vin… dans des verres de formes différentes ! Et certains étaient de vrais connaisseurs ! En bref, pour savourer un bon millésime quand vous avez invité votre patron à dîner, mieux vaut choisir des verres à pied. Ce n’est pas seulement une question de convention : un bon vin s’apprécie davantage dans un bon verre. Vous pouvez voir les verres comme une chaîne hifi. Une vieille radio vous permet d’entendre la musique, comme n’importe quel verre peut contenir un vin. Mais vous n’apprécierez vraiment la musique que si vous avez de bons haut-parleurs pour la retransmettre ! Ca vaut aussi pour le vin : ce n’est que dans des verres adaptés que vous pouvez distinguer toute la complexité d’un vin. En somme, optez pour les verres à pied ! Et si les cours d’oenologie vous intriguent, je vous mets en lien le site où j’ai déniché celui que j’ai suivi: j’y ai beaucoup apprécié l’ambiance. Retrouvez toutes les infos sur ce de cours d’oenologie à Dijon en suivant le lien.

Tu sais que tu viens de Creil quand…

En passant la barre symbolique des 10 000 membres, la page Facebook « Tu sais que tu viens de Creil quand… » devient la plus importante du genre dans l’Oise. Quand, en 2014, Frédéric Houdin lance la page Facebook « Tu sais que tu viens de Creil quand… », il ne s’attendait pas à un tel succès. Presque quatre ans plus tard, la page vient de passer la barre des 10 000 membres. Un chiffre qu’aucun des groupes du genre dans l’Oise, notamment à Compiègne ou Beauvais, n’a atteint. S’il était, au départ, seul administrateur, Frédéric Houdin a vite fait appel à d’autres membres. « Cela pouvait dégénérer sur certains sujets politiques ou religieux, détaille-t-il. Nous avons donc établi une charte afin de poser des règles. » Informations générales, loisirs, bons plans… Tout est accepté sur le groupe. Mais si la conversation dérive, les responsables suppriment le post. « On nous traite parfois de censeurs, mais nous sommes obligés de faire un tri, sourit un des huit administrateurs. Les gens peuvent parler de ce qui ne va pas mais il faut rester correct, sans prosélytisme politique, et ne pas faire d’attaques personnelles. » Avec tant de personnes, le groupe a-t-il une influence sur la ville ? « C’est sûr que cela peut faire bouger les choses. Le maire et d’autres membres de la mairie sont inscrits et y jettent un œil régulièrement », assure un des administrateurs. « On regarde ce qu’il s’y passe, confirme un conseiller municipal. Cela permet de prendre la température sur certains sujets. » Le groupe veut poursuivre sur sa lancée, continuer à informer, tout en restant neutre et objectif. « Beaucoup disent qu’il n’y a que des choses négatives mais c’est faux. Il n’y a qu’à voir les belles photos ou les souvenirs que partagent les membres. Le groupe est à l’image de la ville. »

Les sytèmes de stockage informatique

Afin de faire la distinction entre le stockage au niveau du fichier Block Level Storage Vs, concentrons-nous d’abord sur ce qu’est le stockage au niveau Block, car il peut rendre les choses plus faciles à comprendre. En termes de calcul, un bloc, qui est utilisé pour le stockage de données, est une progression d’octets et de bits et est constitué d’une longueur apparente (proposée). Les données qui sont alignées dans ces blocs sont appelées comme bloquées et l’insertion des données dans les blocs est appelée Blocage. Ceci est bien utilisé par un programme d’ordinateur qui est à la réception. Dans ce concept, les données sont lues comme un bloc entier et sont mises en œuvre sur des périphériques de stockage tels que des disques durs, des lecteurs de disquettes, des disques optiques, des mémoires flash comme des lecteurs de stylo, des bandes magnétiques. Dans les systèmes de fichiers classiques, un bloc n’a qu’un seul fichier et dans d’autres, la taille des données peut varier. Le stockage au niveau bloc est un système de fichiers utilisé par des volumes logiques et physiques et est induit dans les serveurs de réseau de zone de stockage via une interface de petit système informatique ou via un canal Fibre Channel haute vitesse. Le stockage au niveau du fichier peut être défini comme un emplacement centralisé pour stocker (vider) des fichiers et des dossiers. Ces systèmes de fichiers sont connectés au réseau et forment ainsi une plate-forme pour le stockage en réseau. Ce niveau de stockage nécessite des protocoles de niveau fichier (langage de communication informatique) comme NFS présenté par Linux et VMware et SMB / CIFS qui est présenté par Windows. Maintenant, après avoir obtenu une image claire d’un niveau de bloc et de stockage de données au niveau du fichier, prenons les positifs et les négatifs d’eux. Les besoins de stockage peuvent être calculés via Storage Calculator. Stockage de niveau bloc – Les tailles de bloc pour stocker les données sont fixes et d’abord les volumes bruts sont créés, puis le système d’exploitation du serveur interconnecte ces volumes et les utilise comme disques durs individuels, le rendant flexible pour tout stockage de formats de fichiers. ; Les commandes SCSI sont transmises entre l’initiateur et la cible. ; Il n’y a pas de système de fichiers overhead comme un ext3. ; Le système de fichiers de niveau bloc utilise les protocoles Fibre Channel, iSCSI et FCOE. ; Ce système de fichiers obtient un crédit total pour les performances car il y a un accès plus rapide, car ils sont proches du serveur. ; Le stockage du système de fichiers prend en charge le démarrage externe, ce qui est essentiel pour les serveurs hôtes ESX et ESXi. ; Le stockage peut être un système de fichiers Virtual Machine Ce système de fichiers prend en charge NFS, CIFS, HTTP / DAV, FTP et rsync et bien plus encore que ses formats de stockage. ; Le stockage de fichiers au niveau bloc est assez cher, mais il est très fiable. ; Le stockage de niveau bloc est un stockage hautement personnalisable, polyvalent et rapide. ; Le facteur de complexité est élevé dans ce stockage car il faut couvrir les données au-dessus des blocs. De plus, gérer les niveaux de protection du stockage, surveiller l’infrastructure de communication du stockage et l’assurance de la performance. ; Le cloud computing a pris en charge le stockage au niveau bloc pour un nouveau terrain et maintenant le stockage rapide immédiat n’est pas disponible. Stockage de niveau fichier: les systèmes connectés au réseau utilisent cette interface de système de fichiers et sont très bon marché lorsqu’ils sont considérés comme SAN. ; Ce stockage de fichiers fonctionne avec un système de fichiers ext3. ; Les données sont écrites et lues dans des fichiers de longueur variable. Ce système de fichiers est emballé avec une surcharge, car les données sont divisées et stockées dans des blocs. ; Le stockage au niveau du fichier ne prend pas en charge le format du système de fichiers de la machine virtuelle. ; Le stockage du système de fichiers prend en charge le démarrage externe, ce qui est essentiel pour les serveurs hôtes ESX et ESXi. ; Ce système de fichiers prend en charge NFS, CIFS, HTTP / DAV, FTP et Rsync et bien plus encore que ses formats de stockage. ; Impossible de gérer le trafic lourd sur le réseau. ; La récupération des fichiers est beaucoup plus rapide dans ce niveau de système de stockage de données. Emergence de stockage au niveau bloc avec stockage de niveau fichier Alors que la technologie touche de nouveaux niveaux d’innovation, le domaine du stockage de données est également rafraîchi. De nos jours, de plus en plus d’organisations, pour éviter toute mise en garde, optent pour le niveau de stockage Hybrid, qui inclut la convergence du stockage au niveau fichier avec le stockage au niveau bloc. Ainsi, selon le besoin, le service des niveaux de stockage opte pour une fusion. Pour plus d’informations, allez sur le site de l’agence en référencement naturel et trouvez toutes les infos.